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RECRUTEMENTS EN COURS
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L’ère du numérique a sans aucun doute révolutionné notre quotidien et n’a évidemment pas épargné le monde du travail. En effet, ce que l’on nomme désormais la « révolution numérique » est devenu un débat crucial dans le monde de l’entreprise, et notamment dans les départements des Ressources Humaines. Depuis notre position privilégiée aux côtés des Directions et des départements RH, nous observons et accompagnons la transformation digitale à l’œuvre dans les PME romandes. Qu’il s’agisse du recrutement, des méthodes de management ou du processus d’évaluation des collaborateurs, le digital remet en question les modèles existants. L'exemple de l'outil Zest Me Up!
Mais il y a un "mais" La perspective d’implémenter un tel outil impacte l’entreprise à tous les niveaux : maturité digitale, méthodes de management, politique et compétences RH, structure organisationnelle, tenue de séances, processus d’évaluation annuelle, etc. Pour réussir sa transformation digitale, l’implémentation d’outils 4.0 n’est donc pas la clé. L’outil ne crée pas la révolution, il pose la question : sommes-nous prêts pour une révolution ? Et la réponse est très souvent négative. Les trois éléments qui empêchent la révolution digitale L’expérience nous a appris les trois éléments qui, la plupart du temps, s’opposent à une petite révolution digitale dans l’entreprise :
Notre recommandation Alors voici notre recommandation : l’implémentation d’outils digitaux dans votre entreprise est une bonne chose non tant pour ce que l’outil vous apportera, mais déjà, et fondamentalement, pour les questions primordiales que cette implémentation vous posera. Et ces questions, nous sommes là pour vous aider à y répondre.
Ce n’est pas pour autant qu’il n’y a pas de solutions, au contraire ! Dans une société où une psychologisation parfois importante s’exerce sur le travailleur, il est intéressant de montrer qu’environ 60% des facteurs de risques sont d’ordre organisationnels et non individuels. Il semblerait donc que nous ayons plus d’impact que ce que l’on pense sur cette maladie ! Plusieurs chercheurs de l'Université de Sherbrooke ont ainsi réussi à démontrer que principalement 6 facteurs de risques organisationnels sont à retenir :
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