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ARTICLES ET RÉFLEXIONS

Formateur d'adultes : le partage des savoirs

2/25/2021

 
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Être formateur d’adultes c’est quoi ? Des styles différents, chaque jour de nouveaux défis, en bref un challenge stimulant au quotidien.
 
Former un public adulte, peu importe le contenu du cours, peut parfois se révéler être un exercice périlleux. L’humeur des participants et du formateur peut jouer un rôle déterminant dans la dynamique de groupe et influencer le bon déroulement d’un cours.
L’importance de l’atmosphère 
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Ainsi, il est évidemment recommandé d’instaurer un climat agréable dès le début d’une formation, mais également de laisser un espace d’expression aux participants. En effet, chacun doit être en mesure de trouver sa place en tant qu’individu et se sentir libre d’exprimer ses ressentis. Pour ce faire, chaque formateur a sa méthode. « Après leur avoir dit bonjour, je leur demande dans quelles dispositions ils se trouvent, comment ils se sentent. Et je leur pose toujours la même question : qu’ont-ils fait de leur week-end ? C’est très simple, mais ça nous permet de créer de la confiance et une meilleure connaissance de chacun pour débuter le cours dans une bonne dynamique et dans une bonne ambiance », explique Elvire Küenzi, formatrice sur la plateforme TRE.
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Elvire Kuenzi, formatrice sur notre plateforme TRE
Bien entendu, il n’y a pas de formule magique au bon déroulement d’une formation, tout comme il n’y a pas de « bon » ou de « mauvais » groupe de participants. Cependant, il est nécessaire d’être attentif à cette fameuse dynamique de groupe dès les débuts d’une session de formation, car elle va être déterminante pour la suite du déroulement.
 
La période d’accueil qui ouvre un cours est l’occasion de se libérer des différentes incertitudes qui pourraient planer dans l’esprit des uns et des autres. Le formateur y explique le cadre et le programme, ce qui permet d’éclaircir et de comprendre le déroulé de la formation.
Les premiers échanges passés, le formateur sera en mesure de « sentir » les besoins du groupe et ainsi d'adapter son positionnement tout en conservant son propre style. Rappelons que son rôle sera de favoriser l’apprentissage, il est donc responsable de l’espace dans lequel il évolue.
Par exemple, varier les méthodes de formation permet d’optimiser la transmission des savoirs tout en maintenant une dynamique de groupe positive. Le jeu, l’exposé par question, le travail en duo ou en groupes, le cours ex cathedra sont autant de possibilités d’instaurer un rythme et ainsi maintenir l’intérêt et l’attention des participants.
 Nuances et adaptabilité

Eva Poffet, formatrice chez Valeur Plus insiste sur l’importance de nuancer les propos pour ne pas tomber dans une approche dogmatique dans les formations qu’elle anime. « Quand un participant me demande si les méthodes qu’il emploie sont justes ou non, je lui réponds qu’il n’y a pas de règle. Tout est question de subjectivité ».
Cette nuance est une grande richesse dans les groupes, elle ouvre le dialogue avec les participants et les encourage également à livrer leur manière de faire sans jugement de la part du formateur. Un des rôles du formateur est donc d’apporter des conseils, des idées, du contenu tout en gardant à l’esprit que rien n’est figé et que toute pratique est susceptible d’évoluer.
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Eva Poffet, formatrice sur notre plateforme TRE
Chaque participant arrive avec son passé, ses habitudes, son savoir mais aussi ses certitudes. Ainsi, c’est cette diversité qui rend le métier si intéressant.
« Ce que j’aime le plus dans mon job ? La variété des profils des participants. Ils ont tous un bagage et des expériences qui personnalisent et enrichissent les échanges et parfois même le contenu du cours » s’enthousiasme Romain Moracchini, formateur.

​Etre formateur, c’est jongler en permanence avec plusieurs balles. L’un des challenges est justement l’adaptabilité permanente dont il faut faire preuve. Jongler entre les attentes et les besoins de chacun, et jongler avec le temps. Garder un petit œil sur la montre  pour savoir si on a l’espace pour des échanges plus complexes ou si, au contraire, il faut donner un coup d’accélérateur pour terminer son programme.
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Romain Moracchini-Villard, formateur sur notre plateforme TRE
L’humour et la bonne humeur
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« Choisis un travail que tu aimes, et tu n'auras pas à travailler un seul jour de ta vie. » disait Confucius.
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L’humour, le sourire, la bienveillance, la motivation, la bonne humeur sont des clés essentielles sur le trousseau de chaque formateur. Elles ouvrent des portes et permettent aux formateurs et aux participants de prendre du plaisir tout en travaillant efficacement.
Le miroir et la remise en question

​Pour Véronique Bellanger, responsable de la Plateforme TRE chez Valeur Plus, le métier de formateur est stimulant, car il lui permet de se remettre en question : « Grâce à mes groupes de participants, je m’interroge sans cesse sur ma pratique, j’apprends tous les jours à élargir mon horizon et à élaborer de nouvelles stratégies pour transmettre notre savoir-faire. Je développe mon esprit critique et apprends également à lâcher prise ».
Un article sur le métier de formateur pourrait rapidement se transformer en encyclopédie (eh oui, le formateur est bavard). Pour en saisir les multiples facettes, l’idéal est encore de l’observer dans son milieu naturel en participant à un cours.

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Véronique Bellanger, responsable de ​notre plateforme TRE
Consultez notre page dédiée pour en savoir davantage sur les activités de notre plateforme TRE, destinée aux personnes en situation de recherche d'emploi. ​

50 ans : un état d'esprit

2/24/2021

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​​Comment, de nos jours, considérer que 50 ans soit un pallier, une étape clé dans la vie professionnelle qui consisterait à "vieillir"? Essayons de ne pas le faire.
​Comment écrire un article sur les personnes de plus de 50 ans sur le marché du travail sans tomber dans la généralisation et la caricature ? Essayons de le faire.
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Si on se réfère à l’inconscient collectif, passer 50 ans c’est être trop cher, trop lent, trop vieux, en bref, inutile. Il est temps de démonter les clichés. Imaginez que nous remplacions 50 par une nationalité ? Nous serions immédiatement, et à juste titre, soupçonnés de discrimination. Alors pourquoi stigmatiser les personnes de plus de 50 ans? Concrètement, l’employabilité ne se mesure pas en nombre de bougies sur un gâteau. Plus que d’âge, il serait légitime de parler d’attitude ou de positionnement, car c’est parfois là que le bât blesse. Qui apprécie collaborer avec quelqu’un qui commence ses phrases par « A mon époque… » ou encore « Oui, mais aujourd’hui les jeunes… » ? Qu’importe l’âge, travailler avec une personne qui manque d’adaptabilité et qui a des difficultés à se remettre en question n’est jamais agréable.

Quels prétendus "défauts" pour les 50 ans et + ?
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Évidemment les charges sociales sont différentes, mais contrairement aux idées reçues, rien ne change à 50 ans exactement. En effet, entre 35 et 44 ans les cotisations sociales sont en moyenne de 10%, elles passent ensuite à 15% à 45 ans et à 18% à partir de 55 ans. Bien sûr, certains n’auront pas de mal à dégainer le fameux « Tu coûtes trop cher », mais finalement trop cher par rapport à qui, à quoi ? Dans une société où l’âge de la retraite a tendance à être repoussé, il est difficile d’imaginer que l’expérience soit un frein à l’employabilité. Si vous pensez que l'expérience coûte cher, essayez l'inexpérience...
Au-delà des clichés : la réalité des 50 ans et +
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Alors à quoi ressemble une personne de plus de 50 sur le marché du travail ? Andrea, 25 ans, assistante administrative, nous donne son avis : «  C’est une personne d’expérience, qui me motive et en qui j’ai confiance. A ses côtés j’ai envie d’apprendre et je sais que je peux m’appuyer sur ses connaissances. » Bénéficier de l’expertise et du vécu d’un employé plus âgé est en effet particulièrement enrichissant. De plus, il est facile d’imaginer qu’au vu de son parcours, l’employé sera rapidement opérationnel, ce qui s’avère être un atout non négligeable dans une société en perpétuelle quête d’efficacité.
 
Alexandra 31 ans, gestionnaire formations et qualité et Sylviane, responsable finances, mettent toutes les deux en avant l’importance de l’état d’esprit et elles ajoutent : « La diversité des âges au sein d’une entreprise apporte une réelle plus-value, elle nous permet un partage des savoirs et une complémentarité particulièrement bénéfiques à l’entreprise. » explique Sylviane. Alexandra, quant à elle, nous dit qu’ « un collaborateur de plus de 50 ans apporte de la maturité dans une équipe, il a cet esprit d’analyse qui lui permet de prendre les bonnes décisions face à des situations parfois problématiques. Il est une véritable ressource. »
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Une personne de 50 ans est une personne d’expérience, qui me motive et en qui j’ai confiance. A ses côtés j’ai envie d’apprendre et je sais que je peux m’appuyer sur ses connaissances. 


Andréa, 25 ans
A lire ces témoignages, nous sommes bien loin du quinqua réactionnaire, réfractaire au changement et incapable de se remettre en question. Évidemment, ce genre d’individu existe, mais ce n’est pas la norme. Natacha 29 ans, formatrice et coach met tout de même le doigt sur un point de vigilance. « Il arrive parfois que je me retrouve face à des employés éprouvant des difficultés quant à l’utilisation des outils digitaux notamment dans les métiers de terrains. Ces collaborateurs sont désemparés face à l’évolution de leur fonction et cela peut malheureusement créer de grandes différences dans les équipes de travail. »
 
Emmanuel, 43 ans, formateur, en charge du recrutement dans sa précédente activité nous dit :  « Je n’ai pas d’a priori, j’engagerais avec plaisir une personne de 62 ans comme une de 25. L’âge n’étant pas un critère d’embauche. »
Je n’ai pas d’a priori, j’engagerais avec plaisir une personne de 62 ans comme une de 25. L’âge n’étant pas un critère d’embauche.

Emmanuel, 43 ans, formateur en charge du recrutement dans sa précédente activité
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En conclusion
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L’attitude et le positionnement du candidat joueront un rôle important dans le choix du recruteur. Qu’importe l’âge, si l’on fait un parallèle, une personne sortant de formation sera, elle aussi, victime des clichés : pas d’expérience, moins impliquée, ne pense qu’à sortir. Peut-être que si nous évitions de matérialiser nos propres craintes et projections en généralités, cela éviterait la stigmatisation arbitraire d’un âge. D'ailleurs, ne dit-on pas que l'âge, c'est dans la tête?
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