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Coaching : travaillez sur vos croyances limitantes

2/11/2021

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Dans un précédent article sur la tendance actuelle des coachings en entreprise, nous vous avions partagé la formule qui résumait l’action du coaching : Performance = Potentiel – Interférences.

Intéressons-nous aujourd’hui au troisième élément de cette formule, les interférences, et plus précisément à celles que nous nommons les croyances limitantes. Que sont-elles, en quoi influencent-elles notre vie (tant privée que professionnelle) et pourquoi ont-elles un rôle central à jouer dans un processus de coaching ?
 
Qu’est-ce qu’une croyance en coaching ?
Nous avons tous un système de croyances relatives à la vie en général, à nous-même, au monde professionnel. Elles nous viennent de notre éducation, de notre parcours, de nos expériences, et sont souvent formées de stéréotypes, de généralisations d’expériences vécues, de dictons populaires. Certaines de ces croyances sont utiles, c’est-à-dire qu’elles nous aident à vivre en société, à faire des choix, à se sentir appartenir à un groupe, à avancer.


Par exemple 
​

La plupart des citoyens de notre pays croient que la démocratie est le meilleur système de gouvernance. Est-ce vrai ? Là n’est pas l’important, car jamais personne ne pourra prouver que la démocratie est effectivement le meilleur système, il faudrait pour cela comparer une multitude d’autres systèmes, prendre en compte des critères multiples et évaluer des systèmes utopistes qui n’ont pas été testé en pratique dans l’histoire de l’humanité. Ce qui importe en revanche, c’est que les gens croient que la démocratie est bonne et utile, et que cette croyance soit partagée par une majorité. Cela permet aux citoyens d’agir selon les principes de la démocratie sans remettre quotidiennement en question la gestion du pays.
​

Un autre exemple de croyance utile que beaucoup de gens partagent est « qui ne tente rien n’a rien ». De nouveau, l’important n’est pas de savoir si cette affirmation est véridique ou non, il serait d’ailleurs impossible de le prouver. C’est bien l’utilité de cette croyance qui importe, dans le sens où elle va permettre à la personne qui la nourrit d’oser, de prendre des risques, de tenter.
D’autres croyances, au contraire, ont un impact négatif sur notre vie dans le sens où elles nous empêchent d’effectuer certaines actions, d’avancer ; ce sont des croyances limitantes. Elles peuvent être assimilées à des préjugés que nous avons, et elles sont appelées limitantes car dans le langage du coaching elles limitent le potentiel d’un individu.
Il serait impossible de lister les croyances limitantes existantes, car elles sont infinies. Voici cependant quatre catégories de croyances régulièrement partagées et entretenues dans notre société :
Les croyances limitantes relatives à soi :
​
  • Je ne suis pas créatif.ve 
  • Je ne sais pas parler en public
  • Je dois prendre la responsabilité de mes échecs 
  • J’ai toujours été maladroit
  • Etc.
Les croyances limitantes relatives aux autres :
​
  • Les hommes sont tous avides de pouvoir 
  • Les chefs d’entreprise ne pensent qu’à l’argent
  • Les femmes doivent être deux fois plus dures que les hommes pour se faire respecter
  • Il faut se méfier des gens trop gentils
  • Etc.
Les croyances limitantes relatives à la vie en général :
​
  • On ne peut faire confiance à personne
  • Il faut souffrir pour réussir
  • Pas de réussite sans sacrifice
  • La vie ne fait pas de cadeaux
  • Il faut travailler dur pour réussir
  • Etc.
Les croyances limitantes relatives au professionnel :
​
  • Pour être un bon manager il faut cacher ses émotions
  • Les collaborateurs ne sont jamais investis à 100%
  • Je n’ai pas le droit à l’erreur
  • Si je dis non trop souvent je risque ma place​
  • A partir de 50 ans il est impossible de trouver un travail
  • Il est impossible de gagner sa vie en tant qu’artiste
  • Etc.
​Nos croyances sont donc comme un filtre de perception à travers lequel nous voyons notre monde et analysons les événements qui le traversent. Le problème – et il y en a un – est que notre cerveau identifie ces croyances comme des vérités, et ces vérités vont guider notre comportement afin qu’il s’y conforme.

Un exemple ?

Si je perds mon emploi à 50 ans, et que je crois qu’à partir de 50 ans il est impossible de trouver un nouvel emploi, je vais me mettre dans une disposition négative, penser que ma situation est catastrophique, et très certainement avoir de la peine à décrocher des entretiens d’embauche. Si au contraire, en perdant mon emploi à 50 ans je pense qu’il me reste 15 années pour réaliser un dernier objectif professionnel qui me tient à cœur, je vais me mettre dans une disposition positive, imaginer des opportunités (une nouvelle formation par exemple) et entamerai mes recherches avec un entrain qui me rapportera sûrement des résultats positifs. Attention, loin de nous la « méthode Coué », ou l’idée d’affirmer que seul notre perception de la réalité influe sur ce qui nous arrive. Simplement, le fait d’avoir des croyances très ancrées sur la façon dont fonctionne le monde ne peut que nous empêcher de voir la situation autrement, et de chercher des solutions alternatives.

 
Les coachs diront même que parfois, les croyances limitantes constituent une protection confortable pour ne pas risquer l’échec. Si, par exemple, je crois qu’il est impossible de gagner sa vie en tant que comédien, je vais m’autoriser à ne jamais tenter ma chance et ne prendrais donc pas le risque d’essayer et d’échouer. Confortable, non ?
Le problème des croyances limitantes réside donc dans le fait qu’elles influent nos comportements et nos choix pour qu’ils collent au plus près à celles-ci.
​
" L’effet pervers des croyances est leur aspect auto-réalisateur : je crois, donc je vais agir en conséquence, et ma croyance s’en trouvera renforcée. "
​
Exemple : Je crois que je ne sais pas parler en public. Je vais donc éviter de prendre la parole en séance. Si je décide de tenter une fois, il y a fort à parier que je bafouerais, rougirais, et vivrais ce moment gênant négativement. Cette expérience va venir renforcer ma croyance que je ne sais pas parler en public, et je ne prendrais plus le risque d’essayer.
 

Identifier ses croyances limitantes et s’en défaire
Pour identifier ses croyances qui nous limitent, nous pouvons nous faire aider d’un.e coach, évidemment, mais nous pouvons aussi réfléchir aux pensées qui nous viennent dans certaines situations bloquantes. Un indice utile : les phrases qui contiennent « toujours », « jamais », « tout le monde », « il faut », « je dois » sont généralement des croyances limitantes, car elles nous cantonnent à une vision étroite et rigide de la situation (« je n’y arriverai jamais »), ou elles font peser un poids énorme sur nos épaules quant à ce qui est attendu de notre part (« je dois toujours faire face à mes responsabilités »).
 
Une fois que vous avez identifié une croyance, il n’est pas nécessaire de vous demander si cette croyance est vraie, il faut simplement vous demander :
​
  • Est-ce que cette croyance m’est utile ?
  • Quels comportements cette croyance va induire de ma part ?
  • Suis-je satisfait.e de ce comportement ?

Si les réponses à ces 3 questions sont oui, continuez d’alimenter cette croyance. Si les réponses à ces questions sont non, alors vous pouvez estimer utile de vous débarrasser de cette croyance.

Faites-le test avec n’importe laquelle de vos croyances et passez-la à travers le filtre des 3 questions ci-dessus.
 
Chez Valeur Plus, nous sommes persuadés qu’un travail sur les croyances limitantes relatives au monde professionnel est extrêmement puissant dans un processus d’accompagnement tel qu’un coaching. Se défaire de nos croyances limitantes nous permet de vivre chaque situation avec un regard neuf, d’appréhender notre rôle au sein de notre environnement professionnel avec objectivité, d’identifier les mesures à prendre pour progresser et avant tout d’oser avancer en étant conscient de notre potentiel.
​

Ce travail que nous réalisons avec nos clients en coaching leur permet d’avancer petit à petit en modifiant leur façon de voir les problématiques qu’ils rencontrent au quotidien et trouver ainsi des clés pour arriver à leurs objectifs.
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